Ou pourquoi vaut-il mieux réfléchir avant d'agir (Hikaru)

Perdu... Il était une nouvelle fois perdu. Mais que faisait-il ici ? Non, vraiment, il ne savait pas pourquoi il avait décidé de venir dans cette école. Oui, le jeune homme changeait d’avis comme de chemise, mais là, il ne pouvait plus faire marche arrière, il n’avait plus de case départ. Il entra donc dans le bâtiment. Le hall d’entré. Une salle immense, où des surveillants étaient postés, relevant l’identité de tout un chacun. Il se mit donc dans une file, et attendit. Et il attendit. Attendit. Attendit. Et enfin, son tour arriva :

-Ton nom ?

Le ton froid et distant de cette personne n’inspirait guère à Itami, mais préférant passer inaperçu, il ne dit rien, et se contenta de répondre faiblement. L’homme en face de lui chercha son nom dans la liste, et quand ce fut le cas, il annonça la couleur :

-Bon, alors direction le marché.

Itami ne comprit pas. Que racontait cet homme ? De quel marché parlait-il ? Il savait qu’il n’aurait pas de réponse, mais il ne pouvait empêcher de se les poser. Un homme le prit par le poignet et l’attira dans une direction qu’il ne regarda pas, trop occupé par ses questions. Il n’en sorti que lorsqu’un "CLIC" se fit entendre. Alors, il comprit la situation. Son regard, par réflexe, parti à la recherche de ce qui venait d’émettre le bruit. Il le trouva au niveau de son poignet. Il y trouva une grosse chaine. Immédiatement, cela le fit penser à ses rêves. Non, non, il ne voulait pas y croire, pas à nouveau. Puis il se mit à halluciner. Il se voyait plongé dans son rêve. Les diverses bruits qui remplissaient la salle disparurent en un instant, pour laisser place à trois bruits : des bruits de chaine, de pas, et de rire. Inconsciemment, le jeune homme se mit à trembler, et à murmurer quelque chose dans ce genre : "Non... Pas encore... Par pitié... ". Pour essayer de le rassurer, Mizu intervient :

-Itami, arrêtes...Tu es entrain de réveiller éveiller. Calmes-toi
-N...non, je ne pourrais pas... Par pitié, aide-moi Mizu...
-Mais... je croyais que tu n’aimais pas ma manière de faire...
-S’il te plait...Aide-moi.

L’esprit de l’eau soupira. Bon, s’il ne pouvait pas le raisonner, il allait au moins l’aider. Il lui murmura des nouvelles paroles rassurantes à son oreille, avant de prendre le contrôle de son corps. C’était ainsi. Un jour sur deux, c’était lui qui pouvait contrôler le corps d’Itami, l’autre, il n’était que spectateur. Sauf quand Itami était d’accord pour lui confier son corps.

Les cheveux presque rouges du jeune homme se teignirent en bleu. Son œil vert devient bleu, et le masque qui cachait le second disparu pour laisser place à un deuxième œil en parfait état. Il jeta un coup d’œil à droit, puis à gauche, avant d’observer la chaine qui le retenait prisonnier. Il poussa un soupire. Décidemment, c’était trop simple. Alors, il décida de jouer un peu, et se mit à crier d’une voix puissante :

-Détachez-moi sur-le-champ.

Pendant une demi-minute, un silence de mort régna dans la salle, ce qui fit sourire le jeune homme. Bien, il avait réussit son effet. Un des surveillants vient le voir, et lui administra une claque magistrale, qui arracha un nouveau sourire. Non, il n’était pas masochiste. Seulement, il ne sentait pas la douleur, et l’homme en face de lui le savait tout autant. Il ne faisait ça que pour se défouler. Bien, il fallait maintenant l’inciter à recommencer... Jusqu’à ce qu’il lui ouvre la joue. Oui, vous avez bien comprit. Le plan de Mizu était simple. Contrairement aux humains, son véritable corps n’est pas fait de chair et de sang, mais d’eau. Et son corps humain n’est qu’une enveloppe. Au contact du moindre liquide, elle disparaissait pour laisser place à son véritable corps. Or, le métal ne rouille-t-il pas au contact de l’eau ? De toute façon, il pourrait ensuite facilement passer au travers de la chaine qui le retenait dès qu’il aurait à nouveau son propre corps. Il se mit à réfléchir... Comment énerver cet homme pour l’inciter à le frapper ? Les techniques étaient diverses et variées, mais aucunes n’attiraient spécialement Mizu, qui continue de réfléchir. Seulement, il ne se rendait pas compte que son plan avait des failles... De nombreuses failles.

Hikaru avait quand même assez de toujours avoir un seul garçon pour le servir et peux être qu'il aurait pas du écouter son frère et garder les serviteurs pour lui et rien d'autres, alors le téléphone se mit a sonner dans la chambre et Hikaru le pris sans attendre pour parler :

"Oui, allo sais pourquoi ?"

Il ne put attendre trop longtemps que la voix fut très vite reconnu comme étant le garde qui était a la porte d'entré et l'écouta lui dire :

"Monsieur Hikaru, nous avons un nouveau garçon qui serait dans le genre que vous vouliez que je vous dise. Alors si vous voulez avoir l'amabilité de descendre pour voir."

Le jeune homme lui répondit très vite qu'il allait le voir de suite pour descendre et se trouver dans le hall et le garde lui montra un jeune homme vraiment très beau pour se mettre en face de lui et sourire encore plus parlant avec une voix douce :

"Salut, je me nomme Hikaru et toi ? dis sa te dirais de te faire détacher et venir avec moi ou pas ?"

Hikaru le regardant encore avec des yeux doux et un sourire pour montrer qu'il allait rien lui faire de mal comme promis pour lui même étant en plus la vérité.

Mizu sursauta en entendant une voix s’adressait à lui. En haussant un sourcil, il regarda le jeune homme en face de lui, qu’il détailla lentement. La première chose qui le frappa fut les cheveux roux de son interlocuteur. Etrange coïncidence se dit il, mais cela ne l’étonna pas plus que cela. A près tout, Itami n’était pas le seul roux sur la planète. Puis, il s’arrêta à ses yeux. Ils reflétaient la douceur et la gentillesse de leur propriétaire, et possédaient une couleur entre le marron et l’or. Cela arracha un léger sourire à l’esprit de l’eau. Physiquement, pour le moment, cet homme n’avait aucun point commun avec lui. Par contre, il était plus grand que lui... dans un sens, Mizu et Itami n’était certainement pas des géants, donc cela n’avaient rien d’étonnant. Les traits de son visage étaient fins, très fins... vraiment semblable à ceux d’Itami. Décidemment, les points communs entre les deux étaient vraiment nombreux. Seulement après il écouta les paroles de cet inconnu :

-Salut, je me nomme Hikaru et toi ? Dis ça te dirais de te faire détacher et venir avec moi ou pas ?

Le jeune homme se reteint d’exploser de rire. Il était sérieux là ? Sérieusement, il espérait une réponse ? Il ne connaissait vraiment pas Mizu... Mais grâce à cela, lui, allait pouvoir s’amuser. Cela risquait d’être drôle. L’un des surveillants voulu répondre pour lui, mais l’esprit l’en empêcha :

-Ecoute mon grand, on t’a pas sonné. Il se retourna vers Hikaru. Et toi, mon chou, on voit bien que tu ne me connais pas. Mais bon, je t’aime bien, alors je vais te donner une piste pour trouver mon nom. Il est composé de quatre lettres, il commence par un M et signifie eau.

Il finit sa phrase par un sourire. Oui, il aimait beaucoup jouer. Même si le jeu auquel il jouait présentement était légèrement dangereux. Mais il aimait cela. Jouer avec le feu... Son passe-temps favori. Mizu pouvait être considéré comme dangereux, ou fou, en fonction des personnes, cela lui était bien égal ; il vivait sa vie comme il le souhaitait. De toute façon, le temps et la mort n’étaient pas des choses qui l’effrayaient, elles n’avaient aucunes emprises sur lui. Comme il s’en doutait, le surveillant poussa un soupire avant de dire :

-Son nom est Mizu, c’est un esprit de l’eau, d’où son nom, qui par on ne sait pas qu’elle malédiction c’est retrouvé dans le corps d’Itami, qui lui, est un humain normal. Et c’est hélas tout ce que nous savons sur eux.

L’esprit des eaux poussa un soupire. Ils en connaissaient déjà trop sur lui... Mais cela l’étonna. Peu de personne connaissait son existence. Enfin, il aurait le temps de découvrir comment cela était possible. Il se retourna en direction de Hikaru :

-Alors, oui, cet homme à dit la vérité, et ne compte pas sur moi pour te suivre. Si tu essayes de faire d’Itami et moi tes esclaves, je te jure que ta vie deviendra un enfer.

(bon, j'ai fait moins court, c'est fait exprès. ça me permet de te répondre plus vite ^^)

Il continuait toujours de le regarder dans les yeux et puis se sentait examiner par le garçon aux cheveux bleu un peu étrange quand même et l'écouta avec attention sa voix était quand même froide et direct pour lui répondre sur le coup toujours avec sa même voix :

"Je pourrais pas savoir comme tu te nomme, sinon je te demanderais pas pourquoi tu veux jouer a un truc comme ça monsieur a la voix froide qui croit me faire peur alors que j'ai connue pire que cela moi."

Hikaru pus le voir encore sourire et lui même ne broncha pas sur le coup attendant d'avoir une réponse et se fus le garde qui lui donna les infos pour dire a son tour sur le moment :

"Merci de me donner l'information sur son sujet après tous avec lui pas sur que j'aurais pus trouvé des infos sur lui avec tous cela."

Il ne disait pus rien pour alors écouter encore le jeune Mizu avec sa voix froide lui parler et sourire a ses paroles et lui dit :

"J'allais pas te prendre comme esclave, mais juste en compagnon pour parler et autres dans le genre a moins que tu aime rester comme ça attacher comme un chien."

Le jeune homme l'avais pas lâcher des yeux depuis le départ et ne tremblais pas de peur ou autres.

-Je ne pourrais pas savoir comme tu te nommes, sinon je ne te demanderais pas pourquoi tu veux jouer à un truc comme ça monsieur à la voix froide qui croit me faire peur alors que j'ai connue pire que cela moi.

L’esprit éclata de rire. Bingo. Il avait réussi. Ce jeune homme entrain dans son jeu... Et allait certainement le regretter. Il se mit à réfléchir, pour lui répondre, et pour savoir comment l’énerver. Il ne dit rien pendant un moment, avant d’annoncer la couleur :

-Mmmmh, parce que ça m’amuse ? Oh, et pour ma voix, si elle ne te plait pas... Je peux modifier, juste pour tes beaux yeux...

Sa voix devient bien plus sensuelle, bien plus douce. Il se remit à sourire. Décidemment, ce jeune homme était drôle... très drôle. Puis le semblable de Mizu remercia le surveillant, ce qui fit soupirer Mizu. Puis il se remit à sourire, aimant toujours rajouter son point de vue :

-Et bien, c’est vrai. Je ne t’aurais rien dis. Tu veux savoir pourquoi ? Parce que mon passé, tout comme celui Itami, n’est plus... Nous sommes... amnésiques. C'est tout ce que nous savons sur nous.

En vérité, lui ne l’était pas, mais bon, cela n’était pas complètement faux. Et Hikaru n’avait pas besoin de ne savoir. La voix de ce dernier était froide, quand il lui annonça qu’il ne voulait pas de lui comme esclave, mais comme personne avec qui parler. Ce qui eut pour réaction de le faire exploser de rire :

-Sérieusement... Je suis censée te croire ? Et puis, même si c’est la vérité, je n’aime pas parler.

Puis sa voix changea à nouveau. Il était en colère, et dans sa voix, cela ce ressentait :

-Ecoute... Imagine-toi à me place. Est-ce que ça te plairait d’être attaché comme un vulgaire animal ? Non... Cela ne plairait à personne, et je ne fais pas exception à la règle. Je n’arrive pas à croire que vous nous traitiez comme cela...Et je n’arrive pas à croire que cela recommence.

La dernière phrase était un murmure. Un murmure pour lui, et pour Itami.

Hikaru ne broncha pas et ne quitta toujours pas des yeux le jeune Mizu l'écoutant rire très fortement sur le coup et expliquer une chose pour alors lui répondre toujours sans crier ou autres choses :

"Si tu trouve cela amusant alors tant mieux pour toi et puis pour ta voix peux importe comment elle est après tous m'en fiche royalement."

Il est vrai que se fichait de sa voix et donc répondit assez vite au garde en même temps que l'autre garçon en face de lui avoua qu'il avait perdu la mémoire pour lui et Itami ne pouvant rien savoir de plus, alors Hikaru toujours a le fixer lui dit :

"Je me fiche un peu du passé après tous tu sais se que tu es en se moment même et donc voila de quoi je parlais pas de savoir des choses antérieurs a aujourd'hui."

Le jeune homme le voulais pas comme esclave et pus encore une fois l'entendre rire très fortement, mais Hikaru aurait peux être du se mettre en colère ou autres et ne lui répondit que un truc :

"Oui, je disais un truc vrai que sa te plaise ou non."

Mizu était a présent en colère et se mit a lui dire un truc pendant plusieurs minutes et puis Hikaru se retourna un peu sur le moment pour lui dire :

"Justement, viens avec moi si tu veux pas rester toute ta vie ici a rien faire et attendre les gens que tu fais fuir avec ton caractère grognon a part moi bien sûr qui a pas le moins du monde peur."

Hikaru le regarda toujours le dos tournée et attendit une réponse de sa part.

Mizu se remit à sourire. Ce garçon l’amusait. Et il allait continuer à l’amuser :

-Oh, mais il faut peu de chose pour m’amuser... Tu t’en rendras bien vite compte de toute manière...

Mizu se remit à sourire... Un sourire qui s’effaça rapidement, en sentant que Mizu se manifestait à nouveau. Pour le moment, il se contenta de l’ignorer et de répondre à Hikaru :

-Oh... Mais pour parler... c’est bien ce que tu veux non ? Donc, pour parler, de présent, du futur, ou de quoi que ce soit, cela finit toujours par avoir un lien avec le passé... Donc être amnésique est un véritable problème.

Itami se recommença à rire. Vraiment, ce jeune homme était aussi idiot que drôle. L’esprit arrêta de rire et plongea son regard dans le sien, tout en se relevant, pour être au niveau du roux. Il trouvait trop humiliant d’être dans une position inférieur à celle du jeune homme :

-Très bien... De toute façon, je ne peux pas faire autrement que te croire.

Mizu soupira en entendant les dernières paroles de l’élève. Il ne comprenait vraiment rien à rien. Désespéré, et fatigué d’utiliser de corps d’Itami de cette manière, il obligea ce dernier à reprendre son corps, tout en s’excusant à son oreille.

Dès qu’il se rendit compte qu’il était de nouveau en capacité de se mouvoir librement, Itami se recroquevilla sur lui-même, toujours effrayé par le contact de la chaine. Il recommença à trembler, et quelques larmes naquirent au coin de ses yeux. Oui, il ne ressemblait vraiment pas à Mizu. Il leva la tête en direction d’Hikaru et d’une voix tremblante et pas vraiment sûr d’elle, il dit :

-Si... S’il te plait... Libère-moi... Et je ferais tout ce que tout voudras... Mais par pitié... Dis leur d’enlever ma chaine.

Il le fixait encore le garçon sans parler de nouveau afin de l'entendre se mettre a lui parler a lui pour répondre après un moment sans broncher d'un pouce :

"Oh pour cela je te crois Mizu même surement."

Hikaru avait un peu de mal a cerné Mizu sur le moment et donc le laissa encore parler d'une chose qui était pas si faux en faite pour lui dire avec un léger sourire sur l'instant présent :

"En effet, tu a pas vraiment tord sur le point là quand même et donc peux aussi bien ne pas parler se qui sera assez dure pour communiquer aussi."

Le jeune homme en avais juste un peu assez de l'entendre rire sur lui ou se qu'il dit avant qu'il accepte de venir avec lui, alors il allait faire venir le garde quand la voix de l'autre garçon changea et donc se tourna vers lui pour répondre quand même au garçon :

"Oui, j'ai dis que peux importe se qui arrive je te prendrais avec moi alors attends une seconde."

Hikaru lui sourit pour le rassurer et regarda a se moment là le garde venir et retirer la chaine du cou du garçon et repartit après a sa place au niveau de la grande porte.

-Tu finiras aussi par apprendre que tout ce que je dis n’est que vérité.

Oui, Mizu était vantard, et ce n’est pas pour autant que ses chevilles s’en portaient mal. Un nouveau sourire s’était dessiné sur les lèvres de Mizu... Il venait de découvrir un jeu très intéressant.

-Je te l’ai dis, je n’aime pas parler... De moins pas pour tenir des conversations cohérentes. C’est d’un ennui...

Mizu avait raison, et il le savait. Et cette conversation l’avait bien vite lassé. C’est aussi pour cela qu’il laissa place à Itami. Il l’aimait bien ce roux, mais lui, il était bien plus important que les sentiments de peur et de trahison que pourrait ressentir le jeune homme. Mais il ne s’attendait tout de même pas à ce qu’Itami soit à ce point pétrifié par la peur. Pas besoin d’être un génie pour comprendre qu’il serait dans l’incapacité de bouger tant qu’on ne lui ôtait pas cette chaine. Sur le coup, Mizu s’en voulu un peu. Mais heureusement, Hikaru décida tout de même de le libérer. Débarrassé de son collier, Itami récupéra l’entier contrôle de son corps. Et pour première réaction sauta dans les bras d’Hikaru pour le remercier. Ce n’est qu’on se rendant compte que, désormais, il sert l’animal de compagnie de ce dernier, et que ce genre de familiarité n’était certainement pas les bienvenues qu’il se recula, rosit par la gêne :

-Excusez-moi... Je suis un peu trop expressif...

Hikaru ne dis pus un mot pour le regarder encore une fois sans sourire et puis se mit a l'écouter parler pour sourire quand même un peu et lui répondre sans trop attendre non pus :

"Oh je suis sur et certain que tu a raison sur se point là Mizu."

Il se mit encore une fois a laisser le silence prendre place avant que le jeune homme en face de lui se remit encore et toujours a parler de cela et puis laissant encore un blanc pour finalement lui dire :

"Très bien, alors on ne parlera pas et trouvera un truc a faire pour passer le temps comme ça tu sera heureux."

Le jeune homme pus alors voir après plusieurs minutes que la voix du jeune garçon était différente et se fait sauter au cou quand il se fit détacher avant qu'il se recule et lui demander pardon et était trop expressif, alors Hikaru se mit a lui sourire et posa une main sur son épaule afin de lui répondre :

"Je t'en veux pas pour cela, alors on va peux être aller dans ma chambre pour poser tes affaires et ensuite on verra quoi faire si tu veux bien ?"

Hikaru garda son sourire quand le garde arriva avec un sac qui devait être peux être celui du jeune homme et ne dis pus un mot.

Mizu soupira. Ce dialogue commençait à l’ennuyer. Il décida donc de ne pas répondre à Hikaru. Mais bien vite, il se remit à sourire. A présent debout fasse au roux, s’il n’était pas retenu par cette chaine, il arriverait à lui faire regretter ses paroles. Mais là, il ne pouvait que subir, et attendre.

-Très bien, alors on ne parlera pas et trouvera un truc à faire pour passer le temps comme ça tu seras heureux.

L’esprit de l’eau éclata de rire. Décidément, il n’avait rien comprit. Mais bon, un peu de stupidité de temps à autre, ce n’était pas plus mal. Sauf que lui, semblait l’être toujours, stupide. Un sourire aux bords des lèvres, et décida tout de même de répondre à ceci :

-Tant que je serais en ta compagnie, je ne serais pas heureux. De toute façon, tu ne pourras jamais m’enfermer pour une longue durée. Je suis comme l’eau, insaisissable.

Itami, rouge de honte, gardait la tête baissé, son unique œil fixant le sol comme s’il essayait de le percer d’un regard. Quand Hikaru posa sa main sur son épaule, il sursauta, et se recula, par réflexe. Il ne supportait pas le contact humain. Il bégaya une suite de mot incompréhensible, avant de répondre à sa question :

-Euh... Je... je n’ai... Pas d’affaire à moi. Seul ce bandeau... m’appartient.

Et il passa lentement une de ses mains sur ledit bandeau.

Il avait écouter avec attention le jeune homme et ne savais pas trop quoi dire au départ pour quand même se forcer a trouvé une chose a dire et répondit assez vite au garçon :

"Comme tu veux après tous moi je t'aurais bien laisser faire se que tu veux a part que les gens de l'école t'auraient tué a se qu'il parait si personne te prenais, alors voila pourquoi je voulais te prendre pour éviter de finir comme cela."

Hikaru se mit a soupirer pour poser sa main sur lui et le voir sursauter et reculer comme quoi aimait pas trop que on le touche pour se mettre a dire qu'il avait que son bandeau comme affaires, alors le jeune garçon lui dit après un instant :

"Tu a pas d'affaires de rechange ou de nuit, reste pus qu'a aller vers la ville et faire les boutiques peux être trouvé des affaires qui pourraient t'aller bien a moins que tu a pas envie et veux faire autres choses."

Le jeune homme était a présent un peu plus loin que Mizu pour attendre une réponse que cela sois un oui ou peux être un non pour les boutiques laissant le silence prendre place dans se lieu.

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