Arrivée d'un tit lapinou [libre//un maître s'il vous plait é-è]

Seyren regardait les nuages du hublot de son avion, des formes changeante d'un blanc pur, tout garçon avait rêvé une fois de marcher sur un nuage, l'imaginant cotonneux et rebondissant, le jeune homme aux regard de rubis lui rêvait ou plutôt voulait le dessiner. Les rêves depuis longtemps lui sont impossible, sa tristesse les détruits ou les hantes. Il se passa une main dans les cheveux et soupira. Puis il s'endormit, ses cauchemars le tourmentaient il revoyaient des choses qu'il ne devrait pas voir. Son pouvoir est une malédiction quand on ne le contrôle pas.

Seyren était assit sur une chaise blanche dans une salle blanche sans ombre, à tel point qu'on ne voyait pas les murs. Seul lui habillait de tous ce noir dénotait dans tout ce blanc. Il se sentait bien, seul. Il se leva et avança.

Le jeune homme rouvrit les yeux, l'avion venait de se déposer. Il ne lui manquerait plus qu'a faire une heure ou deux en taxi vers l'école. C'est ainsi qu'il embarqua dans un taxi à la carrosserie jaune canaris bien entretenu pour être plus attractif en parfait contraste avec l'intérieur miteux. le tissus censé recouvrir les places des passagers était à moitié arraché, laissant à Seyren l'expérience, très peu réjouissante de la mousse qui du jaune virait au noirâtre, le sol recouvert de miette, de saleté, ou encore de poussière était encore pire... Le jeune élève en aurait été dégouté. Si il aurait été d'humeur à ressentir des choses futile, mais là, il n'y avait que tristesse dans son coeur ne laissant pas de place ni au dédain ni au mépris, ni au dégout... L'avant du taxi était un tout petit moins "dégueulasse" , même si la poussière y avait élu domicile, cette parti restait présentable. Dans la boite à gant ouvert reposait des cassettes, dont la bobine à moitié déchiqueter dépassant de la boite à gant servait d'échelle aux fourmis, qui prenait les restes de sandwich se trouvant au fond de la boite à gant invisible à l'œil nu à cause du peu de lumière. Un paquet de cigarette reposé juste devant le volant, bien mit en évidence du genre "viens, fume moi, tu ne me vois pas ?".
Le garçon regardait maintenant le paysage défilait devant ses yeux inlassablement, et avec un calme à toute épreuve le paysage défilé devant, lui. Il aurait surement donné beaucoup pour le peindre, même si la voiture se déplaçait, le paysage restait linéaire, toujours les mêmes sapins, dans une symétrie parfaite ils s'alignaient verticalement aux yeux rouges du jeune homme, cette étendu vertical de sapin s'étendait à perte de vue. Il aurait aimé observer ces sapins recouvert de neige, les branches pliants sous le poids de la neige et des stalactites de glace. Mais non, c'était un jour d'été où le soleil tapait très fort, l'écorce, le tronc des pins n'étaient pas froide, mais tiède, les branches, et les épines non blanche à cause du fin duvet de neige d'hiver, mais marron et vert. Cela restait tout de même un paysage très intéressant à ses yeux, après tout les sapins ne parlaient pas, donc ne pouvait pas l'embêtait avec leur problème , le rendant encore plus triste, le laissant porter un problème de plus sur son dos.

Après un quart d'heure il arriva à Gakuen Namida, le jeune homme aux yeux triste sortit du taxi avec son sa, paya le chauffeur et se dirigea vers les grilles de l'école. Il entra dans le hall, se promena un peu allant dans différent couloir tous similaire, jonchait des éternels et indémodable casier vert. A son arrivé on lui avait attribué un "animal"... Triste le jeune homme ne comprenait pas pourquoi on s'entêtait à gâcher la vie d'être magique en leur enlevant leur liberté, alors qu'elle est si précieuse... Mais l'être humain et pourrie sa mère et son demi père en était bien la preuve, Seyren ne voulait plus faire confiance à personne, ou plutôt ne pouvait plus... C'est alors qu'il retourna au hall en percutant quelqu'un... C'était un adolescent beaucoup plus petit que lui avec des oreilles de lapin...! Alors Seyren regarda la photo qu'on lui avait donné à son arrivé lui indiquant que c'était "son petit esclave". Un problème en plus remarqua l'homme aux cheveux rouges en batailles. Alors d'une voix mélodieuse et en même temps triste il lui dit:

"Je suis Seyren, on m'a dit que j'étais ton propriétaire."

Il dit tout ça en une seule phrase et courte en plus. Le nouvelle élève répugnait à parler pour rien dire. Même si employé le mot "propriétaire pour décrire ce petit garçon lapin le dégouté.

Le petit garçon n'émouvais pas plus Seyren qu'un autre dans la même position l'aurait ému. Le jeune homme au regard triste ne s'attardait pas sur le fait qu'il était mignon. Et il n'avait pas à devenir le sosie de sa mère ou de son demi-frère, il ne voulait pas. Le petit garçon ne voulait rien dire, il avait l'air tellement surpris, comme si d'abord on l'avait fait souffrir, puis envoyer ici pour qu'il souffre plus.

"Tu n'appartiens qu'à toi, fait ton choix."

L'adolescent mélancolique avait dit ça et il attendait une réponse,sinon il n'aurait pas d'autre choix... Il devrait souffrir. Oui il devrait souffrir énormément, supporter le fardeau d'un autre en plus. Accroissant sa tristesse encore. De toute façon sa vie se résumait à ça. Il aurait pu s'excuser pour ce qui lui arrive, lui dire qu'il ne savait pas, mais les faits ne changeraient pas,les humains sont pourries. Seyren se doutait que ce petit garçon pour s'exprimer avec des "signes" n'avait pas l'envie de parler, les non-humains ont tous des problème à cause des humain qui les jalouse.


[J'ai fait cour mais après ma présentation et mon premier rp ... x_x...]

[j'ai hate qu'il parle pour avoir un truc à écrire xDD]

Ils avaient une chose en commun, ils ne croyaient plus tout deux aux bonnes choses de la vie, à la différence que, ce jeune garçon avait encore de l'espoir, pouvait sourire, et rire. Mais pour l'adolescent aux cheveux flamboyant et à la grâce féline ce n'était plus pareille, il n'avait plus sourit intérieurement ou extérieurement depuis trois ans. Et ne pensait pas sourire à nouveau. Le jeune adolescent dormait à moitié, Seyren se demandait sérieusement s'il suivrait jusqu'au dortoir. Surtout qu'aucun des deux ne savaient où il se trouvait, donc la possibilité de s'égarer était possible, et très probable. Le mi-garçon mi-lapin se mit à coté de son "maitre", tendit qu'il regardait sur une pancarte où était collé la carte du domaine luxueux et plutôt gigantesque.

*Parlera-t-il ...?*

Le silence pesait entre eux deux... Un lourd silence qui voulait en dire long, aucun d'eux n'avait envie de parler. La coquille qui protégeait Seyren le lui interdisait. Son regard triste se posa sur lui... Mais bon. Seyren se dirigea vers le couloir qui emmenait vers le dortoir et leur chambre.


(De même ^^.)

Sey' avançait plutôt rapidement jetant de bref coup d'œil vers l'hybride qui le suivait, pour voir s'il n'était pas trop à la traine, puis tout à coup il ralentit le pas et se dirigea vers un couloir jonchait de casier verdâtre. C'est là qu'il sentit une légère pression sur la corde, il tourna la tête et remarqua que son "animal" lui indiquait de continuait vers les escaliers au contraire du couloir. Alors sans aucun mot, laissant une atmosphère pesante entre eux s'installer , ils se dirigèrent vers la chambre. Décidément aucun d'eux ne voulaient parler, c'était un comble, de personne ne parlant pas se retrouvant dans une relation de "maitre à esclave"... Le jeune homme aux yeux de rubis regardait la porte de sa chambre dont on lui avait donné la clé argenté. Il ouvrit la porte de bois ciré grâce à la clé et referma la porte derrière eux sans prendre la peine de refermait à clé. L'endroit était assez luxueux mise à part la "niche" dans le coin de la pièce... C'était barbare aux yeux mélancoliques du jeune adolescent, quand il vit que Tojiro se dirigeait vers la niche il le prit par les épaules avec douceur, avec sa même grâce féline qui ne pouvait être terni par sa tristesse,et le tourna vers le somptueux lit. Inutile de parler pour dire que le mi garçon mi lapin dormirait dans le lit. Et puis cela importait peu à Seyren de dormir dans une niche ou dans un lit, la vie était si morne, que-est-ce que cela changeait ...? Il s'en fichait un lit ou un couffin, quelle différence y avait-il ? Et puis au pire, le lit était assez grand pour que deux personnes y dorment. [J'ai déjà dit mon nom dans mon premier poste °°... Bah je me répèterais....]

"Je me nomme Seyren, si tu as envie de savoir une chose dit le moi..."

Alors qu'il regardait l'adolescent s'endormir, Seyren se surprit à penser qu'il pouvait exister des moments sans problème pour certain... Cette adolescent avait l'air un brin "heureux" de dormir dans un lit et non dans cette abaissante tanière.


[On continue dans les dortoirs ^^! Et je me demandais ça te dérangeais si je prenais aussi Anyssa pour "animal ? Ca pourrait être marrant /ZBAAF/]

[miracle il a parlé xD]

[Rp au hall terminé, on continue au dortoir