la nouvelle est la

"-Tiens, ca ne serait pas le jeune Nadea ? Tu as vu ce qu'il porte?"
"-Oui, elle doit être nouvelle, as-tu déjà vu pareille beauté?"
"-Non, mais ce Nadea est un sacré veinard."

Tsuki ecoutat a peine les jeune fille soit avait elle craquée sur mary soit sur lui en tout cas peut importe sa lui etait egale quand soduain il crus entendre la jeune et ravissant neko parlée avec un voix faible ou plutot presque inexistante

"-Vous vous nommez Nadea, c'est bien ça? Dites moi où je suis je vous en conjures.."

Tsuki hesitat a repondre puis il ce lançat avec lui aussi une voix plutot discrete

"oui tsuki nadea mais apelle moi Tsuki... Mary c'est sa ? et biens tu est dans ems bras ,il ce mit a rire doucement et s'arretat plutot rapidement, tu est au pensionat Gakuen Namida et je t'amenen dans notre chambre"

il remarquat que Son timbre de voix était plutot sensuel, avrait dire Tsuki pensat rapidement qu'elle etait droguée ou quelelque chose comme sa cars tout en somnolant elel ce laisse faire et arrive peut a parler comme sui on l'avait anhestesie il remaqua q'elle tenait malgré son état, à rester consciente. Il trouver que La jeune Neko qui gesticulait légèrement dans ces bras l'anbettée un peut mais ne dit rien puis Elle ajouta, légèrement agacée :

"-Je peux marcher, vous savez."

Il n'en coryez pas un mot et continuée sans riens dire a avancée dans le couloir des chambres il n'essayt meme pas de lire le pensée de la jeune enko apres tout elle etait faible et ne voulait absolument pas utilisée ces pouvoir sur des gens faibles sauf si il sens qu'il doit obligatoirement le faire .Certe dépendre de quelqu'un qui est etranger a elle est plutot difficile parfoix . quand elle blottisat sa tête dans son cou Tsuki se mit a rougir legerement , puis une foix arrivée dans la chambre il sapprochat doucement du lit et la posat il cherchat rin ou sayu dans el coins mais ne les trouvat pas il allat donc s'assori sur sa paillase quand soduain l'homme qui devait monter les valsie de la jeune fille arrivat pusi il exigeat d'etre seul avec mary Tsuki prit discretement son katana le cachant derrier lui quand il commensat a sortit trsuki et qu'il voulut refermée la porte il se doutée que quelleque chose allait ce produire il a vait toujour avec lui son katana et avant que la porte ce referme il passat son katana et ouvrat la prote avec u ngrand coup de pied l'homme d'un aire pervers sapprochat de la jeuen neko il entaillat l'oreilel de l'homme qui ce retournat en attaquant tsuki avec un couteaux beaucoup de fille etait venut voir tsuk ice battre a vrais dire beaucoup de jeunne fille l'aprecier pour ses talent de kendo beaucoup de filel l'encourage d'autre essayer de lui declarer leur flamme mais il n'ecouatat pas et parat avec son katana le couteaux de l'homme puis il partit rapidement a l'arriere en lui donnat un coup de pied dans le dos l'homme allat s'ecraser au sol puis quand il allait rentrée tsuki fermat la porte que l'homme ce prit le spectacles etait finie il re ouvrat apres quelle que minute enfermée et restat avec son katana poser sur le mru a cotée de la porte devant cette entrée pour evitée que es indesirables apparaise

Mary commençait à reprendre un peu plus conscience tandis que Tsuki l'amenait et s'arrêtait devant une porte de chambre. Il l'ouvrit en grand et s'arrêta un instant sur le pas de la porte. Mary-Jane releva doucement sa tête somnolente, inconsciente du décor qui s'offrait à sa vue. Elle était de taille assez grande, composée de deux pièces. La porte donnait sur la pièce principale où trônait un magnifique lit à baldaquin. A côté de celui-ci demeurait une paillasse. La jeune Neko haussa les sourcils en reniflant l'odeur de plastique qui provenait de la paillasse. Elle avait eu vent des moyens de soumission qu'on employait envers ceux de son espèce, mais de là à les considérer comme des animaux de compagnie? Enfin, elle avait une mission à accomplir, et c'est comme si les mots de son père venaient raisonner dans sa boîte crânienne pour lui rappeler son fardeau. Tsuki se dirigea lentement vers le lit et la déposa sur l'étendue de draps plissés, il prit place à côté d'elle, assis sur la paillasse, à même le sol. Il la regardait. Elle n'était pas vraiment concentrée sur son nouveau maître fixant sans vraiment le fixer, le plafond. Elle essayait de reconstituer le contexte de son départ. Elle avait quitté son lit, s'était préparée de la même manière que n'importe quel jour banal et finalement, après avoir discuté d'une certaine lettre avec son créateur,avait sombré dans un sommeil sans fond. Un grand trou noir avait remplacé le souvenir de l'injection de drogue dans son bras, et quelque part, c'était mieux ainsi. C'est alors que les paroles du jeune blond lui revinrent à l'esprit.

*Gakuen Namida? Alors comme ca, père m'a envoyée tout de même, malgré ce que je lui ait dit, dans cet établissement.*

Mary-Jane poussa un grand soupir de tristesse, les choses ne s'étaient pas passées comme elle l'avait espéré. Soudain, on frappa à la porte, et quelqu'un entra, enfin c'est ce qu'elle prétextait puisqu'à cause de son infirmité il lui était impossible de distinguer les choses. Elle reconnu la voix hautaine de l'homme avec lequel Tsuki discutait au marché. Il s'exclama :

"M. Nadea, je suis désolé mais la jeune Johnson n'a pas d'effets personnels. Son père nous l'aura vendue qu'avec cette seule robe pourpre et bien sûr ce qu'elle porte en-dessous.. Permettez moi, quelques instants seul en sa compagnie. Dans la précipitation, j'ai omi un examen de contrôle de santé. Et c'est une procédure essentielle, car nous sommes soucieux de la santé de nos chez animaux de compagnie."

L'homme esquissa un sourire malveillant au jeune homme, que Mary-Jane ne pouvait voir. Elle sentit alors Tsuki se lever de son emplacement et s'exécuter. La jeune Neko sentit son cœur battre plus intensément. Elle n'aimait pas le timbre de voix, ni même cette intention perfide qui résidait dans la voix de l'inconnu, cela n'annonçait rien de bon. Et quitte à choisir entre la compagnie de son maître et celle de cet homme, elle préférait rester avec le jeune Nadea. Ses doigts se crispèrent sous l'étoffe en entendant la porte de la chambre se refermer. Instinctivement ses oreilles se baissèrent en arrière et sa queue se mit à battre frénétiquement le matelas quand elle entendit les pas de l'homme raisonner contre le parquet en sa direction. Elle se releva à demie et demanda, la voix inquiète :

"Où êtes vous ? Et que me voulez-vous?"

L'individu n'eut pas le temps de répondre à cette demande, Mary-Jane entendit la porte se rouvrir violemment et percuter le mur, juste à côté. D'autres pas, précipités se dirigèrent vers le lit sur lequel elle était allongée et entendit la lame ferreuse d'une arme sortir de son fourreau. Elle frissonna de réticence en entendant ce bruit, pourtant inconnu à la jeune fille. Puis, toujours sans une parole échangée, un corps fut propulsé à terre précédé d'un cri de douleur. Une odeur de sang se répandit dans la pièce, venant caresser les narines dilatées de Mary-Jane. Elle était affolée, à tâtons, elle se rapprocha du bord du lit et se laissa tomber mollement à terre. Par chance, ses jambes étaient alors assez robustes pour soutenir son poids. Elle palpa chaque centimètre carré du meuble faisant office de table de nuit situé à la tête du lit pour finalement trouver ce qu'elle cherchait : un livre. Elle pensait effectivement s'en servir pour assommer son attaquant si jamais il osait tenter quoi que ce soit, puis en s'accrochant aux rideaux du lit à baldaquin, elle se guida jusqu'au centre de la pièce . Elle entendit la porte se fermer une seconde fois et des bruits de pas se précipiter dans le couloir. Elle en déduit alors qu'après avoir blessé son maître, son attaquant l'avait fait quitter la pièce pour poursuivre son œuvre malfaisante. C'est pourquoi elle se tenait, les sens en alerte, livre à la main.Ses mains tremblaient, la violence n'était pas son point fort. Elle s'exclama, balbutiante :

"- Je.. je vais vous faire pppayer le sang versé de mon maître! "

S'exécutant elle faisait de larges moulinets avec ses bras armés d'un livre dans le but de toucher son agresseur. Mais cela ne faisait qu'accentuer le ridicule de la situation, et une fois encore, c'était une perche qu'elle tendait à autrui pour se faire ridiculiser.

[Désolée du temps de la réponse ]

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